Joëlle B. Le Blanc en a fait du chemin depuis sa sortie d’Édouard-Montpetit

Elle en a fait du chemin Joëlle B. Le Blanc, depuis sa sortie du Collège Édouard-Monpetit. En 1984 elle terminait, avec beaucoup de succès, un DEC en arts plastiques, mais ce n’était que la pointe de l’iceberg. Elle n’a jamais cessé de se perfectionner et elle achève présentement un BAC à l’université du Québec à Montréal.

Graveuse et peintre, Joëlle est non seulement bonne, elle est une excellente dessinatrice influencée par l’hyper-réalisme.
Elle affectionne les contrastes en noir et blanc et a développé une technique d’encrage qui lui permet de souligner les contrastes et d’approfondir les plans de son sujet.
Ses oeuvres ont d’ailleurs rapidement été remarquées et, depuis 1994, elle a mérité une douzaine de prix, dont sept internationaux ainsi que des bourses de l’Office québécois pour la jeunesse et du Conseil des métiers d’art du Québec.
Elle a représenté le Québec en France dans plusieurs événements, elle a exposé au centre d’art de Carcassonne puis au Musée Kolin en République tchèque où elle s’est vue attribuer une mention d’honneur pour ses encres.
Plus récemment, Joëlle recevait le premier prix international en arts visuels, catégorie estampes et dessins ce qui l’a encore fait remarquer sur la scène internationale.
Elle s’est en effet vue offrir un stage à l’Atelier 17 (Contrepoint); un atelier mondialement connu pour ses techniques en estampes. Elle y perfectionnera, entre autres, les techniques d’eau forte et de gravure au burin sur l’étain et le cuivre.
Elle y est depuis le dimanche 2 mai dernier et nous reviendra dans quelques mois pour nous offrir ce qu’elle a de meilleur. Et avec Joëlle, on peut s’attendre à de belles surprises. Un petit conseil aux amateurs d’arts, retenez ce nom… Joëlle B. Le Blanc.

François Laramée.Posted in Presse